Traitement charpente : avantages du traitement préventif
Le bois de charpente est régulièrement attaqué par des nuisances extérieures telles que les champignons, les insectes xylophages et les termites. Ces éléments fragilisent votre charpente, la rendant dangereuse pour les résidents. Des opérations de traitement de charpente préventif sont régulièrement menées par nos équipes.
Durabilité d’un traitement de charpente préventif
La durabilité de l’ouvrage dépend en grande partie de l’évaluation des risques encourus et de la sélection d’une essence de bois adaptée. Cette garantie de durée sans altération d’un traitement de charpente est évaluée à 10 ans minimum. Cette action est entreprise par le prescripteur, par l’architecte, ou encore, par le maître d’œuvre. Il existe deux options : la première consiste à sélectionner une essence compatible avec cette durabilité, la seconde passe par le choix d’une essence insuffisamment durable mais pouvant recevoir un traitement qui lui permet de durer suffisamment.
Traitement charpente bois préventif: les bonnes pratiques
Deux normes françaises et européennes encadrent la durée de service des bois, leur résistance naturelle et les méthodes d’imprégnation. Il s’agit de la norme EN 335, qui se préoccupe des classes d’emploi du bois, et la norme EN 350, qui traite de la durabilité naturelle et de la capacité d’imprégnation des essences. Quelques gestes préventifs permettent de conserver des conditions d’hygiène acceptables comme le nettoyage des abord de la maison, la suppression des sources d’humidité et d’infiltration, la mise en état d’une bonne ventilation, l’interdiction d’entreposer le bois de chauffage contre un mur, etc.
En résumé, l’humidité et la cellulose sont à proscrire. Si vous constatez la présence de bestioles sur votre charpente, des trous d’insectes, ou encore des traces de sciures, il se pourrait que des agents xylophages attaquent votre maison. Des champignons lignivores aux termites en passant par des insectes à larves xylophages (capricornes des maisons, lyctus, vrillettes), il est temps d’intervenir !